Edugraphe : Manuel de l'utilisateur
Sommaire :
Edugraphe © Joël Amblard - Distribué sous licence GPL
Site web : http://perso.wanadoo.fr/joel.amblard/edugraphe/
Présentation générale.
Voici une copie d'écran de l'application :

La fenêtre comprend au départ :
- une barre de menu comprenant 5 menus
- une barre d'outils comprenant 20 boutons
- une zone où sont dessinés des objets graphiques
Par défaut sous mac OSX , les menus sont placés dans la barre de menu de l'écran. Sous les autres systèmes, la barre de menu est intégrée à la fenêtre.
Si vous cliquez sur un objet :
- une barre de dialogue s'affiche en bas de la fenêtre.
Par exemple, en cliquant sur la courbe C , vous obtenez :

La barre de dialogue permet de lire les propriétés de l'objet sélectionné , de le modifier quand c'est possible et dans certains cas d'afficher des informations supplémentaires .
Principes de fontionnement.
L'application fonctionne sous trois modes : création , sélection et effacement . Habituellement :
- Vous demandez la création d'un objet en cliquant sur un bouton de la barre d'outils, par exemple
, ou sur une option du menu Créer : l'application passe en mode création , affiche la barre de dialogue et attend vos instructions.
- L'objet est créé : l'application revient en mode sélection et affiche les propriétés de l'objet dans la barre de dialogue.
Il y a une seule exception à ce principe : si après avoir choisi
, vous créez un point libre par un clic dans la fenêtre, l'application reste en mode création et vous pouvez créer d'autres points libres en cliquant dans la fenêtre.
- Vous demandez la suppression d'un objet en cliquant sur
: l'application passe en mode effacement . Un clic sur un objet efface cet objet et tous ceux qui en dépendent.
L'application reste en mode effacement : pour revenir au mode sélection , vous devez cliquer sur le bouton
.
Il est possible de créer douze types d'objets en utilisant les boutons de la barre d'outils ou les options du menu Créer.
On peut regrouper ces objets en six familles :
- les points
- les droites
- les courbes
- les suites
- les domaines
- les textes
Lorsque vous demandez la création d'un de ces objets , la barre de dialogue devient visible. Si une invite apparaît dans cette barre, l'objet est créé après un ou plusieurs clics dans la fenêtre. Si un ou plusieurs champs apparaissent, vous devez les renseigner pour que l'objet soit créé.
Il existe en outre trois autres types d'objets :
- les noms qui représentent une ligne de texte attribuée à un objet existant : ils sont créés et modifiés dans une fenêtre appelée Aspect
- le repère et le quadrillage qui ne peuvent être effacés mais qu'il est possible de modifier dans une fenêtre appelée Préférences
Résumé des possibilités de l'application.
Vous pouvez avec edugraphe :
- créer des objets , leur attribuer un nom et une couleur
- effacer ou modifier les objets existants
- déplacer l'ensemble de la figure et les objets mobiles
- modifier la couleur et les unités du repère et du quadrillage
- utiliser une autre fonte que celle qui est définie par défaut
- sauvegarder votre fichier aux formats eps et png
- saisir et sauvegarder une partie seulement de la fenêtre
- créer une applet à partir d'un fichier
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Cliquez sur le bouton point libre de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Point ... ? : il suffit de cliquer sur un endroit libre de l'écran pour créer le point. La barre prend l'aspect suivant :

Vous pouvez modifier les coordonnées du point dans le premier champ. Pour valider les nouvelles données, vous pouvez :
- ou bien taper un retour-chariot dans le premier champ : la position du point est modifiée et la barre reste visible
- ou bien cliquer sur le bouton Ok : les données sont validées et
la barre n'est plus visible
Pour créer d'autres points libres, il suffit de cliquer de nouveau dans l'écran.
Cliquez sur le bouton point sur courbe de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Point sur ... ? : il suffit de cliquer sur une courbe ou sur une droite.
- Si vous cliquez sur une courbe, la barre prend l'aspect suivant :

Vous pouvez modifier l'abscisse du point : l'application calculera l'image de cette valeur et replacera le point sur la courbe.
-
Si vous cliquez sur une droite, la barre prend l'aspect suivant :

Vous pouvez modifier les coordonnées du point : l'application replacera le point sur la droite au plus proche des nouvelles coordonnées.
La validation des données se fait dans les deux cas comme pour un point libre.
Cliquez sur le bouton point d'intersection de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Intersection de ... ? : il suffit de cliquer sur deux objets du type droite ou courbe. La barre prend l'aspect suivant :

Le résultat est -s'il existe- le point d'intersection des deux objets qui est le plus proche du dernier clic. Vous ne pouvez apporter aucune modification dans la barre : elle est en lecture seule. Le bouton Ok a pour seul effet de rendre la barre invisible.
Cliquez sur le bouton marque de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Marque ... ? : il suffit de cliquer sur l'un des deux axes.
La barre prend l'aspect suivant :

Le point est matérialisé par un petit trait perpendiculaire à l'axe choisi. Par défaut le nom du point est son abscisse ou son ordonnée , selon l'axe auquel le point appartient. Vous pouvez modifier les données comme pour un point sur une droite ou sur une courbe.
Exemples de points :

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Cliquez sur le bouton droite de la barre d'outils. La barre de dialogue prend l'aspect suivant :

Vous pouvez définir une droite de plusieurs façons.
- par une équation
Renseignez le premier champ avec une expression définissant une droite.
L'expression doit être de la forme y = m*x + p ou bien a*x + b*y = c ou encore a*x + b*y + c (dans ce cas = 0 est automatiquement rajouté). Il suffit de valider les données par un retour-chariot ou par le bouton Ok. La barre de dialogue prend l'aspect suivant :

Si vous validez avec le bouton Ok , la barre n'est plus visible. Vous pouvez par la suite modifier les données en cliquant sur la droite.
- par plusieurs clics
Effectuez un premier clic sur un point existant ou sur un endroit libre de l'écran (dans ce cas un premier point est automatiquement créé). La barre de dialogue prend l'aspect suivant :

Vous ne pouvez plus définir la droite par une équation mais vous pouvez :
- ou bien effectuer un second clic sur un endroit libre de l'écran : la droite est définie par un point et une direction
- ou bien effectuer un second clic sur un point existant : la droite est définie par deux points
La barre prend alors l'aspect suivant :

Vous ne pouvez apporter aucune modification : la barre est en lecture seule.
Cliquez sur le bouton tangente de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Tangente à ... ? . Il suffit de cliquer :
- ou bien sur une courbe : la tangente est créée au point de la coube dont l'abscisse correspond au clic et la barre prend l'aspect suivant

Vous pouvez par la suite modifier l'abscisse du point.
- ou bien sur un point situé sur une courbe : la tangente est créée en ce point et la barre prend l'aspect suivant

Vous ne pouvez apporter aucune modification : la barre est en lecture seule.
Pour créer une tangente, vous ne pouvez pas utiliser de droite mais vous pouvez utiliser une courbe d'équation y = f(x) ou une courbe solution d'une équation différentielle.
Exemples de droites :

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Cliquez sur le bouton courbe de la barre d'outils. La barre de dialogue prend l'aspect suivant :

L'expression tapée dans le premier champ peut être construite avec
- les opérateurs usuels : + , - , * , / , ^
- les fonctions habituelles des calculatrices : rac (racine carrée) , cos , sin , tan , acos , asin , atan , ln , log , exp et abs (valeur absolue)
Vous pouvez ensuite :
- Choisir le nom de la variable. C'est x par défaut.
- Choisir les bornes de l'intervalle sur lequel la fonction est définie.
Si la borne de gauche n'est pas définie, elle est égale par défaut à -∞ : l'application utilise l'abscisse minimale de la fenêtre pour les tracés et les calculs .
De même si la borne de droite n'est pas définie, elle vaut par défaut +∞ et l'application utilise l'abscisse maximale de la fenêtre pour les tracés et les calculs .
Validez les données avec un retour-chariot dans l'un des quatre champs (la barre reste visible) ou en cliquant sur Ok (la barre n'est plus visible).
Vous pouvez par la suite les modifier en cliquant sur la courbe.
Exemples de courbes d'équation y = f(x) :

Cliquez sur le bouton euler de la barre d'outils. La barre de dialogue prend l'aspect suivant :
L'expression tapée dans le premier champ doit être une fonction de y et de x (la variable par convention): elle est utilisée pour calculer la dérivée de la fonction représentée. L'expression suit les mêmes règles que celles d'une courbe d'équation y = f(x).
Vous pouvez ensuite :
- Choisir les coordonnées d'un point de la courbe : l'application calcule une approximation de la solution par la méthode d'Euler à partir de ce point.
Si le point initial n'est pas défini, l'application trace un champ de tangentes en chaque point du quadrillage : lorsque ce point est le point initial, la courbe a pour tangente en ce point la droite indiquée.
- Choisir les bornes de l'intervalle sur lequel la fonction est définie : les règles sont les mêmes que pour une courbe d'équation y = f(x).
- Choisir le nombre d'intervalles utilisés pour les calculs : ce nombre détermine la précision des calculs et des tracés.
Validez les données comme pour une courbe d'équation y = f(x). Vous pouvez par la suite les modifier en cliquant sur la courbe.
Exemples de courbes solution d'une équation différentielle :

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Cliquez sur le bouton suite définie par récurrence de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Suite définie par récurrence ... ? : il suffit de cliquer sur une courbe. La barre de dialogue prend l'aspect suivant :

Vous pouvez apporter les modifications suivantes :
- modifier la valeur initiale
- redéfinir le nombre d'itérations
- cacher ou montrer à l'écran les premières valeurs de la suite en cliquant sur la case à cocher afficher
- choisir le nombre de décimales affichées pour ces valeurs
Vous pourrez ultérieurement modifier ces données en cliquant sur le point de coordonnées (v0 , 0).
Cliquez sur le bouton suite de la barre d'outils. La barre de dialogue prend l'aspect suivant :
Vous pouvez définir plusieurs types de suites :
- suite un = f(n)
Vous devez renseigner le premier champ avec une fonction de la variable n.
Choisissez le premier indice n0 : le premier terme de la suite est automatiquement calculé dans le champ suivant.
- suite un+1 = f(un)
Vous devez renseigner le premier champ avec une fonction de la variable y qui représente par convention le terme précédent de la suite.
Vous devez ensuite définir le premier indice n0 et la valeur de la suite pour cet indice.
- suite un+1 = f(un , n)
Vous devez renseigner le premier champ avec une fonction des variables n et y et procéder comme dans le cas précédent.
Comme pour une suite définie par récurrence, vous pouvez :
- choisir le nombre de calculs : dans le premier cas c'est le nombre de termes calculés et dans les autres cas c'est le nombre d'itérations
- cacher ou montrer les premiers termes avec la case à cocher afficher
- choisir le nombre de décimales affichées
L'application dessine les premiers points de coordonnées (n , un) .
Vous pourrez ultérieurement modifier ces données en cliquant sur l'un de ces points.
Cliquez sur le bouton équation de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Équation ... ? : il suffit de cliquer sur une courbe pour définir une équation du type f(x) = k . La barre de dialogue prend l'aspect suivant :
Vous pouvez apporter les modifications suivantes :
- changer la valeur de k
- indiquer les bornes a et b de l'intervalle où l'équation doit être résolue : par défaut, ces bornes sont celles de l'intervalle sur lequel la fonction est elle-même définie.
- choisir une méthode de résolution : dichotomie , balayage ou newton
- cacher ou montrer les résultats
- choisir le nombre de décimales affichées
L'application trace un trait pointillé de (a , k) à (b , k) pour repésenter l'équation.
Si vous choisissez de résoudre par balayage ou par dichotomie , les calculs ne sont effectués que si f(a) - k et f(b) - k sont de signes différents.
Si vous choisissez newton , la résolution est arrêtée dès qu'un terme de la suite n'appartient pas à l'intervalle de résolution : aucun autre calcul n'est alors réalisé. Si les calculs sont menés à terme , l'application trace les tangentes à la courbe aux abscisses obtenues.
Vous pourrez ultérieurement modifier les données en cliquant sur le trait pointillé qui représente l'équation.
Exemples de suites :

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Cliquez sur le bouton domaine de la barre d'outils. La barre de dialogue affiche l'invite Domaine ... ? : il suffit de cliquer sur une courbe. La barre de dialogue prend l'aspect suivant :
Vous pouvez apporter les modifications suivantes :
- indiquer les bornes a et b de l'intervalle où le domaine est défini : par défaut, ces bornes sont celles de l'intervalle sur lequel la fonction est elle- même définie.
- choisir le nombre d'intervalles utilisés pour les calculs
- cacher ou montrer les résultats
- choisir une méthode de résolution qui sera figurée à l'écran : rectangles , trapèzes , point médian ou simpson
Les résultats des calculs sont arrondis à la cinquième décimale.
Si une valeur non définie est rencontrée au cours des calculs, l'application trace un trait pointillé sur l'axe des abscisses pour repésenter le domaine.
Le domaine et les résultats ne sont visibles que si tous les points de son contour ont une ordonnée comprise entre l'ordonnée minimale et l'ordonnée maximale de la fenêtre.
Si vous affichez les résultats , ils sont respectivement notés :
- Rg : rectangles à gauche
- Rd : rectangles à droite
- T : trapèzes
- M : point médian
- S : simpson
Vous pourrez ultérieurement modifier les données en cliquant à l'intérieur du domaine ou sur le trait pointillé qui le représente.
Exemples de domaines :

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Choisissez l'option Texte du menu Créer : vous pouvez taper une ligne de texte dans le champ de la barre de dialogue. La liste déroulante vous permet de souligner ou d'encadrer le texte.
Vous pouvez également inclure des expressions mathématiques. Toute partie du texte comprise entre deux antislash est interprétée comme une formule.
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Cliquez sur le bouton palette de la barre d'outils : une fenêtre Aspect s'ouvre : elle affiche de nouvelles informations sur l'objet sélectionné. Voici une copie d'écran de cette fenêtre pour un point libre :
Vous pouvez :
- définir la couleur du trait ou celle du fond : cliquez sur l'un des boutons trait ou fond et choisissez une couleur dans la palette
- attribuer un nom à l'objet : tapez une ligne de texte dans le champ nom et cliquez ensuite sur l'un des boutons formule ou texte
Vous validez par un retour-chariot ou en cliquant sur le bouton Appliquer. Le bouton Ok valide les données et ferme la fenêtre.
Tous les objets ont une couleur de trait. Les objets qui ont une couleur de fond sont les points et les domaines. Les boutons trait et fond ne sont visibles que pour les objets de ce dernier type.
Si le bouton formule est choisi , le nom est interprété comme une formule mathématique et sinon le nom est une ligne de texte ordinaire. Les noms qui sont interprétés comme des formules doivent avoir une syntaxe correcte. Les règles à suivre sont les mêmes que pour les expressions définissant une courbe ou une droite. L'interpréteur de formule reconnaît en plus :
- l'opérateur "_" qui permet de définir un indice
- les fonctions "pth(…)" et "cro(…)" qui permettent d'enclore une expression entre deux parenthèses ou deux crochets
Vous pouvez modifier la couleur d'un nom lorsque vous l'avez créé : cliquez sur le nom avec la touche Shift enfoncée et choisissez une couleur dans la fenêtre Aspect.
Le nom est placé sur l'écran relativement à un point d'ancrage : ce point dépend de l'objet qui est nommé et de l'endroit où a été effectué le dernier clic : en pratique, le nom est proche du dernier clic. Pour déplacer le point d'ancrage , cliquez sur l'objet avec la touche Shift enfoncée.
Enfin, en cliquant sur un nom vous sélectionnez l'objet auquel il est associé.
Résumé
- un clic sur un objet affiche la barre de dialogue correspondante et permet de modifier ses paramètres
- un clic sur le bouton aspect affiche une fenêtre où vous pouvez choisir la couleur et le nom de l'objet sélectionné (il est possible d'inclure des formules mathématiques)
- un clic sur un objet avec la touche Shift enfoncée déplace le nom de l'objet à l'endroit du clic
- un clic sur un nom sélectionne l'objet correspondant
- un clic sur un nom avec la touche Shift enfoncée permet de choisir la couleur du nom dans la fenêtre Aspect
Exemples de noms :

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Il suffit de sélectionner cet objet en cliquant dessus. La barre de dialogue devient visible et vous pouvez modifier les données que vous avez enregistrées.
Pour modifier le nom ou la couleur d'un objet , cliquez sur le bouton
de la barre d'outils qui rend visible la fenêtre Aspect.
Voir la partie Création d'objets pour obtenir les informations nécessaires.
Les objets mobiles peuvent être déplacés. Il s'agit des
- points libres
- points sur une droite ou une courbe
- droites définies par un point et une direction
- droites définies par deux points libres
- tangentes en une abscisse
- suites définies par récurrence
- équations
- noms
Pour déplacer l'objet , appuyez la souris comme si vous le sélectionnez et déplacez la souris. Vous pouvez voir en continu les effets du déplacement sur l'écran et dans la barre de dialogue.
Les noms sont déplacés par rapport à leur point d'ancrage. Pour déplacer le point d'ancrage sur l'objet nommé, cliquez sur l'objet avec la touche Shift enfoncée.
Il existe en permanence deux objets que vous pouvez cacher ou montrer avec les options du menu Modifier : le repère et le quadrillage.
Vous pouvez déplacer l'ensemble de la figure en appuyant la souris sur un des axes du repère et en la déplaçant.
Pour modifier les propriétés de la fenêtre , cliquez sur
: une nouvelle fenêtre Préférences apparaît. Voici une copie d'écran :
Vous pouvez :
- choisir l'abscisse minimale (xg) et l'abscisse maximale (xd)
- choisir l'ordonnée minimale (yb) et l'ordonnée maximale (yh)
- cacher ou montrer le repère et le quadrillage en cliquant sur les cases à cocher correspondantes
- choisir une unité sur chaque axe (ux et uy) : l'unité de référence de l'application est multipliée par le nombre indiqué
- choisir une unité pour le quadrillage (qx et qy) : les droites du quadrillage sont espacées du nombre d'unités indiqué
- choisir une grille (gr) : les points libres ont leurs coordonnées arrondies à la précision indiquée
- choisir un arrondi (ar) : les valeurs numériques affichées dans la barre de dialogue et dans cette fenêtre sont arrondies à la précision indiquée
- faire apparaître la palette en cliquant sur le bouton repère ou sur le bouton quadrillage , choisir une couleur et cacher la palette en cliquant sur le bouton cacher
- choisir une fonte et une taille de fonte dans les listes déroulantes situées en bas de la fenêtre : les changements s'appliquent à la barre de dialogue, aux noms et aux résultats affichés dans la fenêtre
- valider les données en cliquant sur le bouton Appliquer et cacher la fenêtre en cliquant sur le bouton Ok
Les données concernant les coordonnées et les unités peuvent être validées de deux façons :
- si vous tapez un retour-chariot dans les champs définissant les coordonnées ou si vous cliquez sur le bouton Appliquer, l'application enregistre d'abord les coordonnées et recalcule ensuite les nouvelles unités
- si vous tapez un retour-chariot dans les champs définissant les unités , l'application enregistre d'abord les unités et recalcule ensuite les nouvelles coordonnées
Une façon rapide de modifier la fenêtre est de cliquer sur l'un des trois boutons Zoom de la barre d'outils.
-
permet de sélectionner une zone de l'écran sur laquelle le zoom est effectué
-
effectue un zoom avant
-
effectue un zoom arrière
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L'application peut enregistrer tout ou partie de la figure sous quatre formats. L'option Enregistrer sous du menu Fichier permet de choisir l'un de ces formats.
Il s'agit d'un format spécifique à edugraphe qui permet de réutiliser un graphique sans avoir à redéfinir ses éléments.
Dans le menu Fichier , l'option Enregistrer effectue une sauvegarde automatique sous ce format.
Les fichiers produits sont des fichiers texte que vous pouvez modifier à la main (avec prudence). Voici par exemple les premières lignes d'un fichier .tsm :
ligne 1
: tsm created by edugraphe 1.1 on Mon Mar 07 11:10:49 CET 2005 charset : UTF-8
Il s'agit d'une ligne de commentaire comme toute ligne commençant par deux-points.
ligne 2 fenetre(606,398,-5.7,7.4,-1.7,7.2,0.1,0.1,1.5,1.5,0.01,true,false,Lucida Sans,12,1.31,1.26,156,156,156,210,210,210)
Instructions concernant la fenêtre. Dans l'ordre :
- dimensions : largeur = 606 et hauteur = 398
- coordonnées : xg = -5.7 , xd = 7.4 , yb = -1.7 , yh = 7.2
- grille : gx = 0.1 , gy = 0.1
- quadrillage : qx = 1.5 , qy = 1.5
- arrondi : ar = 0,01
- repère visible (true)
- quadrillage caché (false)
- fonte = Lucida Sans et taille de la fonte = 12
- unités : ux = 1.31 et uy = 1.26
- couleurs RGB : (156,156,156) pour le repère et (210,210,210) pour le quadrillage
ligne 3
ajouter(barre)
Instruction indiquant que la barre d'outils est utilisable.
ligne 4
barre(point,pointoncurve,intersection,mark, space,line,tangent,space,curve,euler, space,recsequence,gensequence,equation, space,domain, space,select,delete,zoom,zoomp,zoomm, tab,prefs,aspect,help)
Instructions concernant la configuration de la barre d'outils. Chaque instruction correspond aux boutons visibles dans la configuration par défaut. L'instruction space introduit un petit espace entre deux groupes de boutons. L'instruction tab indique que le groupe suivant est placé à droite de la barre.
ligne 5
ajouter(dialogue)
Instruction indiquant que la barre de dialogue est utilisable.
ligne 6
pointlibre(-4,4,true,false,0,[A],false,255,0,0,255,208,137)
Instruction créant un point libre :
- abscisse = -4 , ordonnée = 4
- visible = true (objet visible)
- affiche = false (aucun résultat supplémentaire n'est affiché)
- np = 0 (paramètre utilisé dans les calculs)
- nom = A (nom de l'objet)
- prettyprint = false (le nom n'est pas interprété comme une formule)
- couleurs RGB : (255,0,0) pour le trait et (255,208,137) pour le fond
Ne modifiez un fichier .tsm que si vous savez ce que vous faites. En particulier, si vous introduisez des lettres accentuées dans les noms le fichier doit être enregistré en unicode ("UTF-8").
Si vous utilisez l'un de ces formats, vous sauvegardez le graphique sous forme d'image.
L'option
Photo du menu Fichier vous permet de plus de sélectionner la partie de la fenêtre que vous voulez enregistrer.
Les images sont ensuite réutilisables dans un document latex ou html. Par exemple les illustrations de ce document ont été créées par ce moyen en utilisant le format png.
La sauvegarde du graphique au format eps vous permet de l'insérer ensuite dans tout document mathématique rédigé avec LaTeX aux dimensions voulues.
Pour cela, il suffit d'ajouter \usepackage{graphicx} au préambule de votre document LaTeX.
L'insertion du graphique se fait alors avec la commande \includegraphics{courbe.eps}.
Le caractère vectoriel du format eps et l'option width de la commande \includegraphics vous permettent alors de fixer de façon exacte les dimensions du graphique.
Exemple : Pour inclure dans votre document la courbe de la fonction inverse de telle façon qu'à l'impression l'unité soit exactement de 1cm, il suffit de sélectionner et d'enregistrer au format eps la zone de la courbe comprise entre x = -4 et x = 4 (option Photo du menu Fichier). Dès lors, avec la commande \includegraphics[width=8cm]{courbe.eps}, vous obtiendrez à l'impression une courbe de largeur égale à 8cm exactement (donc à l'unité 1cm).
Cette option permet également de créer directement une applet incluse dans une page web : un simple navigateur suffit pour réafficher le graphique.
Vous pouvez modifier le fichier obtenu : il est par exemple facile de reconfigurer la barre d'outils. Sous ce format les commandes sont séparées par deux-points et il n'est pas possible d'inclure de commentaire.
Voir la partie consacrée au format tsm pour obtenir les informations nécessaires.
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La plupart des options des menus ont été décrites. Pour être complet, on a de plus les options qui suivent. Les raccourcis-clavier sont indiqués entre parenthèses lorsqu'ils existent.
- menu Fichier
- Nouveau : nouveau fichier
- Ouvrir : ouvre un fichier existant
- Imprimer : imprime le fichier
- Mise en page : choisit le format d'impression (portrait ou paysage)
- À propos : ouvre la fenêtre "À propos"
- Quitter : ferme l'application
- menu Modifier
- Sélectionner : bascule en mode sélection
- Tout effacer : supprime tous les objets existants
- menu Fenêtre
- Préférences : cache ou montre la fenêtre "Préférences"
- Aspect : cache ou montre la fenêtre "Aspect"
- Repère : cache ou montre le repère
- Quadrillage : cache ou montre le quadrillage
- Repère normal : remet les unités à leur valeur par défaut
- Barre d'outils : cache ou montre la barre d'outils
- Dialogue : cache ou montre la barre de dialogue
- menu Aide
-
Manuel : cache ou montre la fenêtre "Manuel" dans laquelle vous pouvez consulter ce document
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